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16/06/22

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Tremblement essentiel👉 Il s’agit de la cause la plus fréquente de consultation en neurologie pour les tremblements des mains.👉 Dans la plupart des cas, il s’agit d’une condition bénigne. Les patients viennent pour écarter la possibilité de faire un lien avec la maladie de Parkinson. 👉 Le tremblement essentiel possède la particularité de diminuer sous l’effet de l’alcool (évidement avec de petites quantités), des antécédents familiaux sont à rechercher (tremblement familial). 👉 D’évolution lente, le tremblement essentiel peut apparaître dès l’enfance et les pics de prévalence sont entre 30, 40 et 60 ans.🧐 Le tremblement essentiel pourrait être vécu comme une maladie honteuse pour cause d’un regard social suspicieux, car les tremblements peuvent évoquer des problèmes d’addiction ou d’autres maladies neurologiques. 👉 Le tremblement essentiel est un tremblement bilatéral des mains qui se manifeste à l’action ou au maintien d’une posture et il peut s’accompagner d’un tremblement de type « non/non » de la tête ou à un tremblement de la voix et même des membres inférieurs dans les cas plus sévères. 👉 Dans la plupart des cas, il est différent du style de tremblement de la maladie de Parkinson qui apparait au repos et se réduit à l’action et n’est pas de type « non/non » au niveau de la tête.🧐 Le neurologue a la tâche de confirmer le diagnostic et d’écarter d’autres pathologies plus graves. Il y a la possibilité de traitements pharmacologiques et même, dans les cas plus graves, de radiochirurgie cérébrale. Voir plusVoir moins

Tremblement essentiel
👉 Il s’agit de la cause la plus fréquente de consultation en neurologie pour les tremblements des mains.
👉 Dans la plupart des cas, il s’agit d’une condition bénigne. Les patients viennent pour écarter la possibilité de faire un lien avec la maladie de Parkinson. 
👉 Le tremblement essentiel possède la particularité de diminuer sous l’effet de l’alcool (évidement avec de petites quantités), des antécédents familiaux sont à rechercher (tremblement familial). 
👉 D’évolution lente, le tremblement essentiel peut apparaître dès l’enfance et les pics de prévalence sont entre 30, 40 et 60 ans.
🧐 Le tremblement essentiel pourrait être vécu comme une maladie honteuse pour cause d’un regard social suspicieux, car les tremblements peuvent évoquer des problèmes d’addiction ou d’autres maladies neurologiques. 
👉 Le tremblement essentiel est un tremblement bilatéral des mains qui se manifeste à l’action ou au maintien d’une posture et il peut s’accompagner d’un tremblement de type « non/non » de la tête ou à un tremblement de la voix et même des membres inférieurs dans les cas plus sévères. 
👉 Dans la plupart des cas, il est différent du style de tremblement de la maladie de Parkinson qui apparait au repos et se réduit à l’action et n’est pas de type « non/non » au niveau de la tête.
🧐 Le neurologue a la tâche de confirmer le diagnostic et d’écarter d’autres pathologies plus graves. 
Il y a la possibilité de traitements pharmacologiques et même, dans les cas plus graves, de radiochirurgie cérébrale.

04/06/22

Neuro-La-Côte

Nous sommes heureux d’accueillir dans notre cabinet à Gland le Dr Rodolfo MADURI. Le Dr MADURI, Neurochirurgien FMH, est spécialiste de la chirurgie mini-invasive de la colonne vertébrale (hernies discales, sténose lombaire, tumeurs, compression de la moelle épinière) avec diplôme de formation approfondie en chirurgie spinale FMH. Le Dr MADURI est auteur de nombreuses publications scientifiques concernant la chirurgie spinale (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=maduri+r). En 2019, il a été nommé Professeur Invité à l’Université "de Bari (Italie). Son secrétariat répond au +41 (0)22 366 97 91. Voir plusVoir moins

Nous sommes heureux d’accueillir dans notre cabinet à Gland le Dr Rodolfo MADURI. Le Dr MADURI, Neurochirurgien FMH, est spécialiste de la chirurgie mini-invasive de la colonne vertébrale (hernies discales, sténose lombaire, tumeurs, compression de la moelle épinière) avec diplôme de formation approfondie en chirurgie spinale FMH. Le Dr MADURI est auteur de nombreuses publications scientifiques concernant la chirurgie spinale (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=maduri+r). En 2019, il a été nommé Professeur Invité à lUniversité de Bari (Italie). 
Son secrétariat répond au +41 (0)22 366 97 91.

04/05/21

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01/03/21

Neuro-La-Côte

🧠 Nous sommes un cabinet de groupe indépendant de neurologie dans une région superbe : la côte entre Genève et Lausanne. Notre activité clinique est en pleine expansion et nous recherchons un neurologue (FMH) pour rejoindre notre équipe. 👉 N’hésitez pas à contacter notre secrétariat (022 995 97 44 👉 Dr A. Carota; secretariat@neurolacote.ch). Voir plusVoir moins

🧠 Nous sommes un cabinet de groupe indépendant de neurologie dans une région superbe : la côte entre Genève et Lausanne. Notre activité clinique est en pleine expansion et nous recherchons un neurologue (FMH) pour rejoindre notre équipe. 👉 Nhésitez pas à contacter notre secrétariat (022 995 97 44 👉 Dr A. Carota; secretariat@neurolacote.ch).

30/03/20

Neuro-La-Côte

Diagnostiquer et traiter les maux de tête chez soi.En raison du confinement pour le coronavirus, nous vous proposons des consultations par vidéoconférence.Le mal de tête est la raison de consultation la plus fréquente en neurologie. Cependant, pour la population générale, on estime que + de 50 % des patients avec céphalée n’ont pas de diagnostic précis ni de traitement adéquat.Les céphalées, appelées familièrement mal de tête, correspondent à une douleur locale ressentie au niveau de la boite crânienne ou parfois la nuque. Les céphalées les + fréquentes (90 % des cas) sont :• Céphalée de type tension (30 à 70 % de la population, associée souvent à la dépression et l’anxiété) • Migraine (12 % de la population, 18 % de femmes), avec une forte composante familiale Les symptômes neurologiques (en général visuels) des migraines correspondent à l’aura (migraine avec aura) Ces deux conditions (céphalée de tension et migraine) sont un exemple de céphalée primaire, c’est-à-dire une affection en elle-même et non liée à une autre pathologie (par ex l’hypertension artérielle, un traumatisme crânien, un mésusage médicamenteux, une tumeur cérébrale, la maladie d’Horton [patient âgé], ou d’autres pathologies neurologiques). On parle de céphalées secondaires, si la cause est liée à une autre maladie. Autres céphalées primaires fréquentes : « la céphalée en grappe, l’hémicrânie paroxystique, la céphalée en pièce de monnaie ». Moins connus sont la céphalée hypnique (survient au cours du sommeil), le SUNCT, la céphalée associée à une toux ou à une activité sexuelle et la céphalée de type pic à glace, la migraine liée à une pathologie génétique (migraine hémiplégique familiale).Les céphalées explosives (« à coup de tonnerre » avec une intensité maximale de la douleur [10/10] de l’apparition en 1-2 minutes) sont toujours une urgence neurologique.• Le diagnostic différentiel inclut la rupture d’anévrisme, l’hémorragie sous-arachnoïdienne, la thrombose des sinus veineux cérébraux, la dissection artérielle. • D’autres fois, le changement de type de céphalée, par exemple chez un migraineux, doit faire soupçonner une autre cause.La durée et l’intensité des céphalées sont très variables.Alors que certains maux de tête peuvent durer quelques minutes ou heures, d’autres peuvent durer plusieurs jours. La douleur peut souvent être insupportable, affectant la capacité à travailler et à mener des activités de routine.La céphalée est chronique, si manifestation de +15 jours/mois depuis au moins 3 mois.Pour arriver à un diagnostic il pourrait être nécessaire consulter un neurologue, effectuer un examen neurologique, une résonance magnétique cérébrale ou cervicale, des examens sanguins, mais en général, l’élément diagnostique le plus important repose sur une histoire détaillée des douleurs, des symptômes associés, de l’évolution et de la réponse aux remèdes déjà tentés. Le traitement varie selon le diagnostic :Migraine :• Traitements pharmacologiques (médicament de la crise par Triptans, traitements de fond, mésothérapie) • Traitements immunologiques (anticorps anti-récepteur du gêne de la calcitonine) • Traitement physique (stimulation magnétique répétitive transcrânienne, stimulation cutanée, relaxation, acupuncture, yoga, méditation, cryothérapie).Pour les céphalées médicamenteuses, un sevrage des médicaments antalgiques selon un protocole neurologique pourrait se rendre nécessairePour les céphalées chroniques, il est important de rappeler qu’il n’y a pas de solution rapide. Pour la migraine, une bonne connaissance des facteurs impliqués et des traitements appropriés, réduit « la peur » de la crise : la cause la plus fréquente de la surconsommation de médicaments antalgiques. Sigmund Freud était migraineux. La fin de la crise douloureuse lui apportait un BOOST de créativité.Nous vous proposons des téléconsultations de neurologique. Contactez-nous pour en savoir plus. Voir plusVoir moins

Diagnostiquer et traiter les maux de tête chez soi.

En raison du confinement pour le coronavirus, nous vous proposons des consultations par vidéoconférence.

Le mal de tête est la raison de consultation la plus fréquente en neurologie. 
Cependant, pour la population générale, on estime que + de 50 % des patients avec céphalée n’ont pas de diagnostic précis ni de traitement adéquat.
Les céphalées, appelées familièrement mal de tête, correspondent à une douleur locale ressentie au niveau de la boite crânienne ou parfois la nuque. 

Les céphalées les + fréquentes (90 % des cas) sont :
• Céphalée de type tension (30 à 70 % de la population, associée souvent à la dépression et l’anxiété) 
• Migraine (12 % de la population, 18 % de femmes), avec une forte composante familiale 

Les symptômes neurologiques (en général visuels) des migraines correspondent à l’aura (migraine avec aura) 
Ces deux conditions (céphalée de tension et migraine) sont un exemple de céphalée primaire, c’est-à-dire une affection en elle-même et non liée à une autre pathologie (par ex l’hypertension artérielle, un traumatisme crânien, un mésusage médicamenteux, une tumeur cérébrale, la maladie d’Horton [patient âgé], ou d’autres pathologies neurologiques). 

On parle de céphalées secondaires, si la cause est liée à une autre maladie. 
Autres céphalées primaires fréquentes : « la céphalée en grappe, l’hémicrânie paroxystique, la céphalée en pièce de monnaie ». 
Moins connus sont la céphalée hypnique (survient au cours du sommeil), le SUNCT, la céphalée associée à une toux ou à une activité sexuelle et la céphalée de type pic à glace, la migraine liée à une pathologie génétique (migraine hémiplégique familiale).

Les céphalées explosives (« à coup de tonnerre » avec une intensité maximale de la douleur [10/10] de l’apparition en 1-2 minutes) sont toujours une urgence neurologique.
• Le diagnostic différentiel inclut la rupture d’anévrisme, l’hémorragie sous-arachnoïdienne, la thrombose des sinus veineux cérébraux, la dissection artérielle. 
• D’autres fois, le changement de type de céphalée, par exemple chez un migraineux, doit faire soupçonner une autre cause.

La durée et l’intensité des céphalées sont très variables.
Alors que certains maux de tête peuvent durer quelques minutes ou heures, d’autres peuvent durer plusieurs jours. 
La douleur peut souvent être insupportable, affectant la capacité à travailler et à mener des activités de routine.
La céphalée est chronique, si manifestation de +15 jours/mois depuis au moins 3 mois.

Pour arriver à un diagnostic il pourrait être nécessaire consulter un neurologue, effectuer un examen neurologique, une résonance magnétique cérébrale ou cervicale, des examens sanguins, mais en général, l’élément diagnostique le plus important repose sur une histoire détaillée des douleurs, des symptômes associés, de l’évolution et de la réponse aux remèdes déjà tentés. 

Le traitement varie selon le diagnostic :
Migraine :
• Traitements pharmacologiques (médicament de la crise par Triptans, traitements de fond, mésothérapie) 
• Traitements immunologiques (anticorps anti-récepteur du gêne de la calcitonine) 
• Traitement physique (stimulation magnétique répétitive transcrânienne, stimulation cutanée, relaxation, acupuncture, yoga, méditation, cryothérapie).
Pour les céphalées médicamenteuses, un sevrage des médicaments antalgiques selon un protocole neurologique pourrait se rendre nécessaire
Pour les céphalées chroniques, il est important de rappeler qu’il n’y a pas de solution rapide. 

Pour la migraine, une bonne connaissance des facteurs impliqués et des traitements appropriés, réduit « la peur » de la crise : la cause la plus fréquente de la surconsommation de médicaments antalgiques. 

Sigmund Freud était migraineux. La fin de la crise douloureuse lui apportait un BOOST de créativité.

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Post éducatif 👏🏻

Merci très bien et enfin on reconnaît que ce n est pas du cinéma et réellement handicapant. Enfant quand on parlait de mal de tête le pédiatre répondait que ce n était pas possible "elle fait du cinéma votre fille" (réponse faite à ma mère)

Pour le maux de tête est nesecessaire prend la tensión avant de prend un médicament…parfois c’est trop bas ou très haut donc il faut cible bien le médicament à prendre . Deuxième l estomac plein d air aussi fait pression et provoque la douleur .

C'est quoi ?? Jamais eu

Blablabla….vous vous nous prenez la tete et surtout…$$$$$

Jonny Jon

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